Tout est parti d’un constat simple : les solutions existantes pour arrêter de fumer ou de vapoter proposent de garder la nicotine et entretenir l'addiction, mais de supprimer le geste, l'habitude.

Pourtant, le vrai défi n'était-il pas justement l'inverse ?

Supprimer la nicotine, la source réelle de la dépendance, tout en conservant le geste rassurant et habituel.

Une idée claire s'est alors imposée :

Et si on proposait une alternative qui conserve le geste, sans effets négatifs ?

Pendant des mois, les essais se sont succédés : des prototypes, des ajustements, des formulations affinées.

L'objectif était clair : trouver une solution simple, naturelle, agréable et réellement efficace, sans compromettre l'expérience.

Après des dizaines de tentatives, une première version a vu le jour. Un version qui répliquait fidèlement la sensation de fumer.

Nous avons alors fait essayer la solution à beaucoup de monde, et le résultat est unanime : nous avions créé une solution vraiment efficace pour arrêter ses mauvaises habitudes.

Mais lancer ZERO ne s’est pas fait sans obstacles.

Face à nous : une industrie puissante qui mise tout sur la dépendance.

Les discours étaient rodés. Les lobbies actifs.

On nous a dit que ça ne marcherait pas, que personne ne comprendrait.

Mais notre détermination à tenu bon.

On ne proposait pas un simple produit.

On propose une nouvelle manière de dire stop, sans frustration et sans pression.

ZERO a commencé à circuler, doucement puis de plus en plus rapidement.

Des centaines, puis des milliers de personnes l'ont adopté.

Le bouche-à-oreille s’est imposé naturellement, porté par la qualité du produit, son efficacité reconnue et son approche bienveillante.

Pour la première fois, arrêter n’était plus synonyme de solitude ou d'échec.

Aujourd’hui, ZERO a aidé des milliers de personnes à reprendre le contrôle, en douceur.

Le geste reste, mais la dépendance disparaît.

Mais ce n’est que le début.

La mission continue : innover constamment, rester à l’écoute des utilisateurs, et imaginer ensemble ce que sera demain.

Parce qu’arrêter, ce n’est pas perdre.
C’est retrouver.